Evacuation soviétique en Asie centrale

Ces livres, récits personnels et documents d'archives décrivent les expériences de civils dans l'Union soviétique pendant la Seconde Guerre mondiale. Ils donnent un sens aux difficultés rencontrées par les Hana Kolik qu'elle évacue ses enfants de Kiev

Comptes First Person

Le Enfance perdue site a histoires émouvantes des expériences des enfants pendant la Seconde Guerre mondiale et leur participation à l'évacuation soviétique en Asie centrale.

Site: http://www.lost-childhood.com/

Livres

Pour la station de Tachkent

L'évacuation soviétique des usines et des civils à l'Asie centrale est décrit par Rebecca Manley dans son livre, Pour la station de Tachkent. Le livre se concentre sur l'évacuation des grandes villes, comme Moscou et lenningrad, à Tachkent, Ouzbékistan. Il fait référence à des sources qui décrivent la situation dans d'autres villes, comme le compte par Vladimir Petrov à Alma-Ata et Zeed Levin à Frounze. Bien que ce livre ne couvre pas le même chemin emprunté par Hana Kolik, elle fait clairement ressortir le chaos, ineptie et le désespoir vécue par les femmes et les enfants alors qu'ils fuyaient devant l'invasion nazie et menacées de famine et de violence en Asie centrale.

Ma retraite de Russie

C'est l'histoire d'un aventurier d'un étudiant universitaire qui est déporté dans un goulag soviétique, meurtres un responsable du camp du Goulag avec une pioche, participe à l'évacuation soviétique à Alma-Ata, tout en évitant la mobilisation dans l'armée soviétique, atteint les Etats-Unis à l'aide de la Fondation Tolstoï et devient un universitaire à l'Université de Yale. Dans ses mémoires Ma retraite de Russie, Vladimir Nikolaïevitch Petrov décrit la vie à Alma-Ata, Kazakhstan au cours de la hauteur de l'évacuation soviétique.

La steppe sans fin

Le La steppe sans fin est un témoignage de première main des déportations soviétiques de Polonais dans les camps de travaux forcés en Sibérie, spécifiquement Rubtsovsk. Tout en se concentrant principalement sur la survie de la famille Rudomin en Sibérie, le mémoire décrit également l'évacuation soviétique des usines, les travailleurs et les civils à Rubtsovsk. Elle oppose les privilèges accordés ces Russes à la famine rencontrés par les déportés.